dangeureuse rencontre...

Je me promenais tranquillement par cette belle journée d'été ,regardant plus les oiseau  jouer et chanter que chercher les plantes que mon mentor m'avais demander . J'airais ainsi entre la clariere et les sous bois depuis le debut de l'apres midi ,sautant parfois sur une souris avantureuse ou sur un merle imprudent. Je me disais qu'il était temps de rentrer quand un écureuil sautas d'un arbre un peu plus loins et traversa le champs a toute vitesse. Enjouer a l'idée de  chasser un peu , je pris appuis sur mes pattes arrière et sautas ,retombant a un poils de souris du rongeur . Il détalas et je me mis a lui courir après lui , ne regardant même plus où j'allais , fillant ventre a terre , plantant mes griffes a chaque pas pour me donner de l'élant.Il biffurquas brusquement et grimpas a un arbre imposant, que je fallis percuter dans mon élant. Décus , je mis un coup de griffe puissant dans l'arbre en question , faisant voler une partie de son ecorse au passage , je relevais la tête et constat avec stupefaction et honte que je vennais d'écorcher un des quatre arbres sacrer nommer pommier.
          La queue entre les pattes, je fesais demi tour mais me reournat au aguet quand j'entendis un buisson frémir . Je sauta dessus pensent  avoir retrouver le rongeur ,toutes griffes dehors . Mais je compris bien vite que ce n'était pas un écureuil que je vennais d'attaquer .

Par cette magnifique journée, mon chef me demanda de partir chasser. Je m'aventura toujours plus loin dans mes terres si giboyeuse que j'attrapa deux merles, un rouge-gorge, un compagnon et un lapin. Sans le savoir, je venais de pénétrer dans les Terres Libres. Puis devant moi se dressa quatre grands pommiers à l'allure majestueuses et ancestral. Je sentis alors une odeur étrangère. Je me cacha dans un buisson quand quelque chose s'abatit lourdement sur mon dos, toute griffes dehors. Je me cabra en feulant, et retombant en arrière, écrasa mon adversaire. Celui-ci grogna de douleur. Je me dégagea et me retournant, je lui crache au visage :

-" Que fais-tu sur MON territoire ? Tu as voulu me tuer pour passer inaperçu ici ? C'est cela ? Alors dégage de ces terres ou ça va mal se passer, crois-moi !"

Mon ennemi me regarda, abasourdis.

Je regardais cette jeune chatte que je venais d'attaquer alors qu'elle était apprentie guérisseuse. Elle me donna des graines de pavots que j'avala, méfiante, c'était une ennemie tout de même ! Je demanda mine de rien :

-"Où sommes-nous ?"

-"Aux Quatre Pommiers." dit-elle calmement..

-"Excuse-moi. Je t'ai attaqué alors que nous étions en Terre Libre, et en plus tu est apprentie guérisseuse. J'ai cru être encore sur les terres de mon Clan. Désolée."

L'apprentie accepta mes excuses sans broncher.

-"Comment t'appelles-tu ? Ne serais-tu pas Nuage de Rose ? La fille et apprentie de la célèbre Griffe de Lune ? Celle qui a trahis son Clan par amour pour un ennemi ?"

"Oui... Je suis bien la fille de la célèbricime Griffe de Lune !"Fis-je en exagèrent, ce qui eu pour effet de nous faire rire. J'essayais tout de même d'oublier la fin de sa phrase dans laquelle et l'accusait d'être une tretresse. Enfet, je ne savais pas si elle l'admirait d'avoir fais ça par amour ou si elle essayait de me faire mal.
       Je grimassais, le fait de rire avait ouvert plus encore la griffure sur ma joue. Une goutte de sang tombait sur ma patte. J'apperçus la mine honteuse de la guerrière. Pour la rassurer, je fis:
       "Ha, tien je l'avais déjà oublier celle là . Ce n'est rien , continnuais-je, avec quelque toiles d'arraigniés, tout seras régler !"
        Je savais que pour une entaille de cette envergure, il fallait bien plus et je me retenais de verser quelque larmes de douleur.
J'attrapas quelques toiles  d'arraigniés et me les appliquais sous l'oeuil currieux de mon interlocutrice. Je me laichas les coussinets pour qu'ils collent et accroches les quelques graines de pavots qui restaient et les mangeas, le regard de la chatte me picotais tellement il était appuyer. Je voyais qu'une question lui piquais les lèvres, et je connaissais très bien les rumeurs qui coulais sur mon amour a moi, mais presque personne n'y croyais.